Dimanche dernier, je me suis levé aux aurores. Il faut dire que cela faisait un moment que j’attendais ce jour. Car ce jour-là était spécial : en effet, j’allais vivre mon baptême de voltige aérienne à Colmar ! Une heure plus tard, nous avons pris le départ en famille pour rejoindre l’aéroclub où mon vol devait avoir lieu. Une fois sur place, j’ai eu le plaisir de rencontrer Jérôme. Deux autres participants étaient là comme moi pour s’ouvrir aux joies de la voltige. Eux aussi étaient venus accompagnés de leur famille. Nous nous sommes tous installés dans le hangar, et Alain a alors joué les instructeurs et nous a expliqué les effets des G sur l’organisme.. Puis nous avons tiré au hasard l’ordre de passage : j’étais le dernier à passer. C’était tant mieux, car je voulais d’abord me faire une idée depuis le sol. J’ai donc regardé le premier passager. Bah, vu d’en bas, ça ne semble pas trop méchant. Le moment venu, je vais enfiler mon parachute. J’ai à peine le temps de me préparer que l’appareil libère son passager précédent. Cette fois, c’est mon tour. Je grimpe à bord de l’avion en me disant que le passager précédent avait l’air vachement pâlot, quand même. Thomas me répète les règles de sécurité. Les derniers contrôles effectués, et nous nous retrouvons devant la piste. Karl met les gaz, le bruit est énorme Une fois en l’air, je me souviens du briefing, et je sais ce qui m’attend comme première figure ! Puis Max m’annonce qu’on va commencer la première figure. Et quand mon pilote littéralemeent en vrille, je suis envahi par un sentiment de plénitude. Quelle sensation magique ! La terre et le ciel basculent dans tous les sens, c’est magnifique. Cependant ce n’est là qu’un début, car on enchaîne bientôt les figures : tonneaux lents, rapides,, demi boucle, looping se suivent et ne se ressemblent pas ! Au final, 30 minutes de voltige. Même si je suis descendul’appareil, j’étais lessivé. Mais malgré ça, j’ai beaucoup aimé ce baptême de voltige!Davantage d’information sur cette expérience de ce vol en avion de voltige à Courtrai en cliquant sur le site internet de l’organisateur.

Dimanche dernier, par une journée Une tasse de café à la main, je regardais le soleil poindre à l’horizon. Depuis le temps que j’attendais ce jour. Car ce jour-là n’était comparable à aucun autre : ce jour-là, j’allais faire mon baptême de voltige à Bondues ! Quelques heures plus tard, nous avons donc allés en famille pour rejoindre l’aérodrome, où j’ai rencontré Thierry. Deux autres participants se préparaient comme moi pour découvrir les sensations du vol acrobatique, et étaient eux aussi venus avec toute leur famille, ce qui fait qu’on était assez nombreux. Nous avons pris place sur des sièges, et Karl a alors pris la casquette de formateur. Il nous a fait un sympathique briefing, pendant lequel il nous a expliqué les figures que nous allions être amenés à faire et les sensations auxquelles nous allions avoir droit avec les facteurs de charge. Mes mômes le regardaient, émerveillés. Puis nous avons tiré à la courte paille l’ordre dans lequel nous allions passer : j’étais bon dernier à passer J’ai donc regardé le premier passager monter à bord du petit appareil et prendre les airs. Vu d’en bas, ça ne semble pas trop méchant, me dis-je. Soudain, on me signale qu’il est temps de enfiler mon parachute. J’embrasse ma femme, mes enfants, puis l’avion regagne la terre ferme. Cette fois, c’est mon tour. Je monte à bord de l’avion en essayant de ne pas trop penser. Philippe me répète une dernière fois les règles de sécurité. Nous sommes parés, parapente et je suis face à la piste. Thierry accélère. La sensation de vitesse est déjà géniale. D’emblée, la vue depuis le cockpit. Puis Thomas me prévient qu’on va amorcer la première figure. Et quand je me retrouve la tête en bas au beau milieu d’un looping, je ne peux m’empêcher de crier. Quelle sensation phénoménale ! Le paysage bascule dans tous les sens, c’est superbe. Pourtant ce n’est là qu’un début, car on enchaîne bientôt les figures : tonneaux lents, rapides,, cloche, loopings se suivent et ne se ressemblent pas ! Au final, 10 minutes de pur bonheur. Lorsque je suis ressorti un peu pâlichon de l’appareil, mais j’ai adoré cette séance de voltige!Retrouvez plus de renseignements sur l’organisateur de cette expérience de ce vol en avion de voltige à La Roche sur Yon.

Je suis juste très heureux de me joindre à vous de nos jours dans ce qui plonge dans l’histoire comme la meilleure démonstration de liberté dans l’arrière-plan de notre terre. Il y a plusieurs années, un grand État américain, dans l’ombre symbolique duquel nous restons, a autorisé la Proclamation d’émancipation. Ce décret capital a émergé comme étant une excellente lueur d’espoir pour d’innombrables esclaves noirs qui avaient été brûlés dans les flammes de l’injustice flétri. Il est arrivé comme un joyeux aube pour terminer la longue nuit de captivité. Mais cent ans plus tard, nous devons rencontrer le simple fait déchirant que le nègre n’est toujours pas libre. 100 ans après, la durée de vie du Noir est toujours tristement paralysée des menottes de la ségrégation ainsi que des réserves de discrimination. Cent ans plus tard, le nègre vit sur une île tropicale solitaire de pauvreté au milieu d’une immense mer de richesse matérielle. 100 ans plus tard, le Noir continue de languir au sein de la culture américaine et se trouve en exil au sein de sa propriété personnelle. Nous sommes donc venus ici aujourd’hui pour dramatiser un problème épouvantable. D’une certaine manière, nous sommes maintenant venus à l’argent de notre nation pour financer un chèque. Une fois que les concepteurs de notre république ont écrit les merveilleuses phrases de la Constitution et de la Déclaration de liberté, ces gens signaient un billet à ordre que chacun de nous finissait par être l’héritier. Cette note avait été une garantie que tous les hommes bénéficieront des privilèges inaliénables du mode de vie, de la liberté et aussi de la recherche du contentement. Il est évident ces jours-ci que les États-Unis ont manqué à cet avis de promesse en ce qui concerne son peuple de couleur. Plutôt que de commémorer cette obligation sacrée, l’Amérique a donné aux Noirs un mauvais chèque; un chèque qui est revenu marqué «ressources insuffisantes». Mais nous refusons d’imaginer que l’institution bancaire des droits propres est en faillite. Nous refusons d’imaginer qu’il n’y a pas assez d’argent à l’intérieur des fantastiques coffres d’opportunité de la terre. Pour que nous arrivions à l’argent ce chèque-un chèque qui nous fournira en cas de besoin la richesse de l’indépendance ainsi que la sécurité des droits appropriés. Nous sommes maintenant venus pour que cet endroit sacré rappelle aux États-Unis l’urgence de la situation actuelle. Ce n’est vraiment pas le moment de se livrer au luxe de se détendre ou d’accepter la drogue tranquillisante du gradualisme. Le moment est venu de concrétiser la promesse de la démocratie. Le temps est venu de passer de la vallée sombre et désolée de la ségrégation au chemin ensoleillé de la justice raciale. Le moment est venu d’ouvrir les portes de l’occasion à la plupart des enfants de Dieu. C’est le moment de faire passer notre pays de vos sables mouvants d’injustice raciale au son de la fraternité.

Si vous détestez tout ce qui touche à la cuisine, je viens illuminer votre journée. Car je dois vous dire ceci :il y a toujours de l’espoir. Le week-end dernier, je me suis offert un cours de cuisine chez un chef . Cela peut vous sembler insignifiant, à première vue, mais c’est qu’à une époque pas si éloignée, la cuisine faisait pour moi partie des choses dont le monde pourrait fort bien se passer (avec les dessous de verre, les ornithorynques, et l’Eurovision). La seule idée qu’on puisse passer des heures en cuisine ! A cette époque, les pâtes déshydratées étaient mon plus grand effort dans le domaine. Et puis un jour, je ne sais trop pourquoi, un jour, je me suis mis à cuisiner. J’ignore encore ce qui m’a pris. Enfin bref, à mon corps défendant, j’ai commencé à cuisiner, un peu plus chaque jour. Je pensais que cette passion finirait par se perdre, mais ça n’est jamais parti. Il ne faut pas se mentier : je suis toujours loin d’être un pape de la gastronomie, mais je peux au moins dire que je me débrouille. Pourquoi ? Mystère. Je crois que cela me détend, d’une certaine façon. Ca peut paraître absurde de prime abord, mais rien de mieux que de hacher menu pour se calmer les nerfs ! Le fait de devoir être méticuleux permet d’oublier les problèmes relatifs au travail… Si vous êtes un croyant du commandant Picard, je vous conseille sérieusement de vous de cuisiner. Parce qu’en plus d’être un plaisir, c’est dans l’ère du temps, en plus d’être amusant. D’ailleurs, ça se dans le nombre de programmes télé dédiées à la cuisine amateur ou professionnelle… Si j’ai longtemps jugé ce genre de programmes, aujourd’hui, je les regarde avidement. Ca me donne des idées, m’ouvrent à de nouvelles associations d’aliments. Parce que la cuisine, c’est un univers qu’on n’a jamais fini de découvrir et d’explorer !. Si vous ne deviez retenir une seule chose de ce billet, c’est celle-ci : si j’ai pu céder à la fièvre culinaire, c’est que n’importe qui en est capable ! D’ailleurs, je vous mets le lien vers mon cours de cuisine, si vous vous sentez pousser des fourchettes !

Récemment, alors que j’étais chez des amis, j’ai fait un vol en hélicoptère d’une demi-heure à La Baule. C’était la première fois que je réalisais un vol de ce genre et au final, j’ai été plutôt surpris de la différence qu’il peut y avoir avec le vol en avion. Je me déplace souvent en avion pour le boulot et je n’ai pas besoin de Xanax pour le faire. Mais il en va tout autrement pour les petits appareils. Parce que voyez-vous, l’année dernière j’ai eu l’occasion de faire un vol à bord d’un Robin et un orage nous a surpris ; et avec les secousses de l’avion, je peux vous dire que j’ai cru ma dernière heure arrivée ! Depuis ce jour-là, je n’étais pressé de remonter dans un appareil de tourisme. Mais j’ai vite été rassuré une fois sur place. Et effectivement, sitôt que l’hélico a quitté le plancher des vaches, j’ai été sidéré par le calme du décollage. Je n’ai pas ressenti la moindre secousse. Le vol a été très jouissif. Lorsque notre hélicoptère prenait un virage et se mettait à pencher d’un côté, j’ai tout de même observé quej’avais tendance à me raccrocher à tout ce qui m’entourait. Mais ça n’avait rien à voir avec ce que j’avais pu éprouver lors de ce vol en Cessna. Et puis, le panorama exceptionnel m’a vite fait oublier tout ça : c’était juste splendide ! Si vous trouvez déjà le Jura sympathique vu du sol, attendez donc de découvrir les lieux depuis les airs ! C’est tout simplement impressionnant. De plus, j’avais demandé une réservation à 18h pour assister à cet incroyable spectacle en fin de journée, quand le monde se couvre de nuances dorées. Mon vol en hélicoptère fut au final une excellente expérience. Si vous n’avez jamais tenté l’aventure, je vous invite à sauter le pas. Je vous mets en lien le site où j’ai trouvé mon vol en hélicoptère, pour ceux qui habiteraient à Pau. 😉

En fait, j’ai réalisé quelque chose de merveilleux ces derniers temps, quand je suis allé à Jéricho, une région tellement gravée dans le passé historique, que j’ai pu apprécier de votre air lorsque je fais un saut en parachute. Jéricho est l’une des premières colonies en cours sur la planète, parachute datant peut-être d’environ 9000 avant notre ère. Les fouilles archéologiques ont démontré la longue expérience de Jéricho. Le site Web de la ville est d’une grande importance archéologique; il vous donne la preuve de la 1ère croissance et développement des établissements permanents et par conséquent des premiers pas vers la société. Voir Jéricho du ciel est une expertise incroyable. Des traces ont été trouvées de visites de chasseurs mésolithiques, datées de dioxyde de carbone à environ 9000 avant notre ère, et d’une longue période de paiement par leurs descendants. Vers 8000 avant notre ère, les occupants se sont transformés en une communauté locale arrangée efficace pour développer une énorme surface de mur en pierre naturelle autour de la résolution, augmentée à un moment donné au moins à partir d’une importante tour en pierre naturelle. La taille de cet arrangement justifie l’utilisation du mot ville et implique un nombre d’habitants de 2 000 à 3 000 personnes. Ainsi, ce millier d’années a connu une activité perçue provenant d’un style de vie de camping pour un paiement total. La création de l’agriculture peut être déduite de cela, et des céréales de variétés cultivées de blé ou de céréales et d’orge ont été découvertes. Jéricho est donc l’un des nombreux domaines de la preuve d’une agriculture très très précoce. Il est remarquablement possible que, pour offrir un vaste terrain à l’agriculture, l’irrigation ait été inventée. Cette première tradition néolithique de la Palestine était vraiment un développement tout simplement indigène. Ces personnes avaient réussi vers 7000 avant notre ère par le biais d’un 2e groupe de personnes, livrant une tradition qui était encore néolithique et ne développait toujours pas de poterie, bien qu’elle ne soit pas native. Cette occupation indique peut-être l’apparition de nouveaux arrivants d’un de plusieurs autres centres, potentiellement dans le nord de la Syrie, où le mode de vie néolithique selon l’agriculture s’est développé. Ce 2e point néolithique s’est terminé vers 6000 avant notre ère. Pour les 1000 prochaines années, il n’y a guère de preuves de carrière à Jéricho. Seulement environ 5000 avant notre ère, Jericho a réussi à démontrer les impacts des développements qui se produisaient dans le nord, dans lesquels une quantité probablement croissante de villages a vu le jour, toujours néolithique mais marquée par l’utilisation de la poterie. Les tout premiers utilisateurs de poterie de Jéricho étaient cependant en fait primitifs contrairement à leurs prédécesseurs sur la page Web, vivant dans de simples huttes enfoncées dans le sol. Il s’agissait peut-être principalement d’éleveurs. Au cours des 2 000 années suivantes, l’emploi était clairsemé et peut-être intermittent. Après le IVe siècle avant notre ère, une tradition métropolitaine a de nouveau éclaté à Jéricho, comme le reste de la Palestine. Jéricho était à nouveau un village fortifié, ses murs ayant souvent été reconstruits. Vers 2300 avant notre ère, il y avait clairement une fois de plus une interruption de l’existence urbaine. Les nouveaux arrivants nomades, comprenant de nombreux groupements différents, étaient probablement les Amoréens. Leurs successeurs, vers 1900 avant notre ère, étaient en fait les Cananéens, partageant une tradition découverte sur toute la longueur du littoral méditerranéen. Les Cananéens ont réintroduit le mode de vie de la ville, et les fouilles ont fourni des données à la fois sur leurs propriétés et sur leur mobilier résidentiel, qui avaient été localisés dans leurs tombes comme équipement des sans-vie dans l’au-delà. Ces résultats ont suggéré le type de douane que les Israélites ont localisé après leur infiltration à Canaan et ils l’ont principalement mis en œuvre. À mon avis, ce saut en parachute continue d’être une rencontre remarquable, et je le recommande donc fortement, à Jéricho quand vous le pouvez, ou plus près de vous. Un saut en parachute est tout simplement remarquable.

Le Bronx est peut-être le quartier le plus au nord et (à l’exception d’un petit ruban de Manhattan) la seule partie réelle de la Big Apple sur le continent. Il a d’abord été payé par les propriétaires de fermes et est resté non urbain pendant des siècles. Initialement lié à Manhattan uniquement par le King’s Fill au-dessus du ruisseau Spuyten Duyvil, il a absolument été le théâtre de beaucoup de discorde pendant la Révolution américaine, mais il a ensuite pris le relais comme domaine dans lequel des personnalités politiques et des vendeurs aisés ont reconnu les propriétés de la saison estivale. À la fin du 19e siècle, il avait été le lieu de trouver une piste de course où Belmont Stakes était gérée jusqu’en 1889. Chemins de fer, ponts supplémentaires et commerce progressivement sûr le Bronx sur la métropole inférieure, et en 1874 les municipalités de Morrisania, Western Farms et Kingsbridge a été annexé par Manhattan. Des collections de rails surélevées dans un avenir proche ont accédé à deux nouveaux quartiers de la métropole, et de vastes parcs ont été certifiés; l’arrondissement actuel, d’une superficie de 109 kilomètres carrés, est toujours un quart du parc. Lorsque de nouveaux territoires à travers le Bronx ont été mis dans la Big Apple dans le cadre de la consolidation de prêts de 1898, un arrondissement moderne a été créé. Avant 1910, les lignes de train se frayaient un chemin vers le nord pour aider au développement de la population dans les premières terres agricoles. Au moment où la région du Bronx a été reconnue en 1914, elle comptait d’énormes groupes d’Italiens, de Juifs, d’Irlandais et d’Arméniens. De nombreux centres d’intérêt identifiés pour la communauté remplissent des fonctions telles que les personnes qui ont créé des zones, le zoo du Bronx, le plus récent jardin botanique de York ou peut-être le réservoir de la zone de loisirs de Jerome. D’autres ont travaillé autour du campus universitaire de l’université ou du collège de New York, qui contient le Hall de reconnaissance initial du pays (pour les excellents peuples d’Amérique), ont élargi la méthode du train ou construit Yankee Arena (1923), la maison de la légende du baseball Babe Ruth réputé construit. Fordham Road était une rue d’achat importante, et le Lavish Concourse a gagné la faveur comme l’une des adresses les plus renommées de la ville. L’arrondissement conserve le plus grand nombre de propriétés Craft Deco dans le monde. Une vieille chanson de Broadway a bien informé les citoyens américains que «le Bronx est en hausse», mais nombre d’endroits du pays ont assaisonné ce genre de baisse précipitée de la richesse. Pendant une dizaine d’années après le milieu des années 1960, le Bronx est devenu l’image de la décadence du centre-ville vintage en raison de l’activité criminelle, des vendeurs de médicaments, des propriétaires renégats, ainsi que de la pression d’accepter de vagues peu après une vague d’immigrants. Les Portoricains ont gagné de l’énergie politique en décidant Herman Badillo comme président de l’arrondissement; ils l’ont ensuite dirigé pour le You.S. Congrès. Néanmoins, la réputation de l’arrondissement n’est pas née d’une avancée culturelle éclairée, mais des incendies qui ont ravagé ses bâtiments ainsi que des guerres de médicaments et de gangs qui ont détruit ses adolescents. Bien que complètement lié à la métropole par des chemins de fer et des ponts similaires depuis le Robert F. Kennedy (1936; anciennement appelé Triborough), Whitestone (1939) et Throgs The neck and throat (1961), le To the south Bronx était un endroit pour abandonner le plus rapidement possible. À l’intérieur, le peuple juif a fui le Grand Concourse pour résider dans Co-op Area, un complexe de maisons près d’Eastchester Bay. Quiconque comptait plus de 15 000 appartements a réussi à en faire la plus grande croissance de ce type aux États-Unis. La propagation des bidonvilles vers le nord depuis Mott Haven, Hunt’s Point et Morrisania a mis en danger le changement de l’ensemble de l’arrondissement dans un endroit dégradé. Au cours du dernier quart de votre 20e siècle, la marée de décadence s’est inversée, ainsi que le Bronx a rebondi de manière impressionnante. Les directives légales voulant que les paiements d’assurance minimaux réduisent considérablement les activités d’incendie criminel des propriétaires fonciers, et les zones vacantes étaient en fait remplies de biens immobiliers unifamiliaux et en rangée. Des milliers d’appartements ont été réhabilités ou reconditionnés avec des fonds de la région, et beaucoup plus ont été protégés par ceux qui ont refusé de céder à l’anarchie. Les tensions entre les combats de populations – l’arrondissement est certainement un tiers des États-Unis africains, un tiers des hispaniques et un autre tiers des asiatiques et des blancs brillants – se sont apaisées, et la fréquentation des établissements d’enseignement au sein de l’arrondissement a augmenté. La population augmentait avec le milieu des années 1990, ainsi que les enclaves de classe supérieure de Riverdale et de l’île tropicale Metropolis, une fois de plus positionnées comme des régions de propriété recherchées pour le haut niveau de la métropole. La force politique a toujours été à la disposition des électeurs hispaniques, mais l’ensemble de l’arrondissement a bénéficié d’une récupération ancienne.

Une réunion a été préparée récemment à Rome pour renforcer les aspects optimistes de l’idée de l’administration allégée. Liée aux stratégies de gestion japonaises, la production juste à temps (JIT) est un ensemble de concepts et de techniques basés sur la philosophie selon laquelle les entreprises devraient conserver peu ou pas de produits en plus de ce qui est essentiel pour une fabrication ou une syndication rapide. Autrement dit, un fabricant doit acquérir des matériaux ou des pièces non transformés auprès des fournisseurs probablement juste avant qu’ils ne soient employés dans la production, ainsi que la production de l’entreprise doit être transportée vers les clients aussi rapidement après la conclusion que vous le pouvez, sans détenir sur un inventaire de produits parfois non transformés ou d’articles finis. Dans la formation, le JIT a généralement été présenté comme un programme de gestion holistique visant à minimiser les dépenses, à maximiser la productivité des dépenses et à obtenir des avantages agressifs. Ainsi, de nombreuses autres situations sont considérées comme nécessaires à l’exécution productive de JIT. Quelques exemples sont des styles peu importants, des périodes de configuration et de changement rapides, des contrôles de qualité supérieure efficaces et réussis, ainsi que peut-être surtout, la conception de la méthode de création entière pour réduire les sauvegardes et augmenter la productivité du travail individuel et de la machine. La fabrication tonique implique un certain nombre de choses. Il s’agit essentiellement d’une version occidentalisée du JIT et du kaizen japonais, ou d’une progression régulière. La production à faible teneur en matières grasses est un processus permettant de mesurer et de minimiser les stocks et de rationaliser la production. C’est en fait un moyen de modifier la façon dont une organisation améliore la performance globale des herbes. Un programme dépendant de l’information, en développement tonique prend généralement plusieurs années de persévérance, de planification et d’aide de la part de l’administration supérieure. La production mince est vraiment connue car elle prétend utiliser beaucoup moins de certains actifs (espace, produits, employés et bien d’autres) que ce qui est utilisé par les techniques de création de volume régulières pour générer une productivité similaire. Le terme est devenu largement utilisé avec la distribution de 1990 de la publication The Appliance That Transformed the globe de David P. Womack, Daniel T. Williams et Daniel Roos. La publication dépendra des recherches menées par le MIT sur cinq années civiles dans le cadre du programme Overseas Motor Vehicle dans le domaine des véhicules dans quatorze endroits. Cet examen fondamental de votre industrie automobile clarifie l’idée même de la fabrication mince à un public cible de citoyens nord-américains la première fois. Le Thésaurus APICS identifie la production à faible teneur en matières grasses comme étant une vision de la génération qui met l’accent sur la diminution du niveau de tous les actifs (qui comprend le temps) utilisés dans une variété de routines d’organisation. Cela exige de découvrir et d’éliminer les activités qui ne valent pas la peine d’être intégrées dans la conception, la génération, organisation de séminaire Rome la gestion de la chaîne source et les relations avec les acheteurs. Les producteurs à faible teneur en matières grasses font appel à des équipes d’employés polyvalents à tous les niveaux de l’entreprise et utilisent des modèles très accommodants et de plus en plus informatisés pour produire des volumes de produits dans une gamme probablement énorme. En fin de compte, ils combinent les avantages de la fabrication en vrac (grand volume, faible coût du modèle) et de la production artisanale (variété et adaptabilité). La haute qualité est supérieure à celle de la fabrication en volume régulier. Le règlement et les récompenses découlent de l’atteinte de la situation de prix complète plutôt que sur le travail, les frais généraux ou les actions de bonne qualité personnelle.