Zen et cuisinier

Si vous détestez tout ce qui touche à la cuisine, je viens illuminer votre journée. Car je dois vous dire ceci :il y a toujours de l’espoir. Le week-end dernier, je me suis offert un cours de cuisine chez un chef . Cela peut vous sembler insignifiant, à première vue, mais c’est qu’à une époque pas si éloignée, la cuisine faisait pour moi partie des choses dont le monde pourrait fort bien se passer (avec les dessous de verre, les ornithorynques, et l’Eurovision). La seule idée qu’on puisse passer des heures en cuisine ! A cette époque, les pâtes déshydratées étaient mon plus grand effort dans le domaine. Et puis un jour, je ne sais trop pourquoi, un jour, je me suis mis à cuisiner. J’ignore encore ce qui m’a pris. Enfin bref, à mon corps défendant, j’ai commencé à cuisiner, un peu plus chaque jour. Je pensais que cette passion finirait par se perdre, mais ça n’est jamais parti. Il ne faut pas se mentier : je suis toujours loin d’être un pape de la gastronomie, mais je peux au moins dire que je me débrouille. Pourquoi ? Mystère. Je crois que cela me détend, d’une certaine façon. Ca peut paraître absurde de prime abord, mais rien de mieux que de hacher menu pour se calmer les nerfs ! Le fait de devoir être méticuleux permet d’oublier les problèmes relatifs au travail… Si vous êtes un croyant du commandant Picard, je vous conseille sérieusement de vous de cuisiner. Parce qu’en plus d’être un plaisir, c’est dans l’ère du temps, en plus d’être amusant. D’ailleurs, ça se dans le nombre de programmes télé dédiées à la cuisine amateur ou professionnelle… Si j’ai longtemps jugé ce genre de programmes, aujourd’hui, je les regarde avidement. Ca me donne des idées, m’ouvrent à de nouvelles associations d’aliments. Parce que la cuisine, c’est un univers qu’on n’a jamais fini de découvrir et d’explorer !. Si vous ne deviez retenir une seule chose de ce billet, c’est celle-ci : si j’ai pu céder à la fièvre culinaire, c’est que n’importe qui en est capable ! D’ailleurs, je vous mets le lien vers mon cours de cuisine, si vous vous sentez pousser des fourchettes !