juillet 22, 2020 · Non classé

Je suis juste très heureux de me joindre à vous de nos jours dans ce qui plonge dans l’histoire comme la meilleure démonstration de liberté dans l’arrière-plan de notre terre. Il y a plusieurs années, un grand État américain, dans l’ombre symbolique duquel nous restons, a autorisé la Proclamation d’émancipation. Ce décret capital a émergé comme étant une excellente lueur d’espoir pour d’innombrables esclaves noirs qui avaient été brûlés dans les flammes de l’injustice flétri. Il est arrivé comme un joyeux aube pour terminer la longue nuit de captivité. Mais cent ans plus tard, nous devons rencontrer le simple fait déchirant que le nègre n’est toujours pas libre. 100 ans après, la durée de vie du Noir est toujours tristement paralysée des menottes de la ségrégation ainsi que des réserves de discrimination. Cent ans plus tard, le nègre vit sur une île tropicale solitaire de pauvreté au milieu d’une immense mer de richesse matérielle. 100 ans plus tard, le Noir continue de languir au sein de la culture américaine et se trouve en exil au sein de sa propriété personnelle. Nous sommes donc venus ici aujourd’hui pour dramatiser un problème épouvantable. D’une certaine manière, nous sommes maintenant venus à l’argent de notre nation pour financer un chèque. Une fois que les concepteurs de notre république ont écrit les merveilleuses phrases de la Constitution et de la Déclaration de liberté, ces gens signaient un billet à ordre que chacun de nous finissait par être l’héritier. Cette note avait été une garantie que tous les hommes bénéficieront des privilèges inaliénables du mode de vie, de la liberté et aussi de la recherche du contentement. Il est évident ces jours-ci que les États-Unis ont manqué à cet avis de promesse en ce qui concerne son peuple de couleur. Plutôt que de commémorer cette obligation sacrée, l’Amérique a donné aux Noirs un mauvais chèque; un chèque qui est revenu marqué «ressources insuffisantes». Mais nous refusons d’imaginer que l’institution bancaire des droits propres est en faillite. Nous refusons d’imaginer qu’il n’y a pas assez d’argent à l’intérieur des fantastiques coffres d’opportunité de la terre. Pour que nous arrivions à l’argent ce chèque-un chèque qui nous fournira en cas de besoin la richesse de l’indépendance ainsi que la sécurité des droits appropriés. Nous sommes maintenant venus pour que cet endroit sacré rappelle aux États-Unis l’urgence de la situation actuelle. Ce n’est vraiment pas le moment de se livrer au luxe de se détendre ou d’accepter la drogue tranquillisante du gradualisme. Le moment est venu de concrétiser la promesse de la démocratie. Le temps est venu de passer de la vallée sombre et désolée de la ségrégation au chemin ensoleillé de la justice raciale. Le moment est venu d’ouvrir les portes de l’occasion à la plupart des enfants de Dieu. C’est le moment de faire passer notre pays de vos sables mouvants d’injustice raciale au son de la fraternité.

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